Ce n’est pas un secret : on a un faible pour Valence! Le groupe proposé une musicalité planante, des textes réfléchis et une ambiance toujours dans la plus grande authenticité. Cette semaine, Valence revient avec « Correspondances sous somnifères », un EP de reprises et de réinterprétations de chansons de son répertoire.
Tiré de son plus récent album « La nuit s’achève » et « Pêle-Mêle », c’est avec son acolyte William Lévesque, au piano et à la co-réalisation, qu’il donne une nouvelle vie à ses œuvres. D’ailleurs, le pianiste William Lévesque est définitivement un talent à découvrir! À quand un album instrumental en solo?
« L’idée à la base de ce mini-album était d’approcher certaines chansons de La nuit s’achève dans un état d’esprit plus détendu, presque méditatif. Mon défi comme auteur-compositeur-interprète est de créer une signature musicale qui me serait identifiable indépendamment de ma voix et des arrangements », explique Valence. Les réinterprétations Depuis Marseille (Reprise) et Onze (Reprise) se portent comme un clin d’œil aux débuts de l’artiste. Avec un timbre de voix plus adouci et une ambiance feutrée, les deux morceaux revivent arrivent en même temps que l’automne. À la perfection, comme d’habitude.
Les pièces instrumentales au piano Penchant (Thème No. 1), Penchant (Thème No. 2) et Tôt ou tard (Thème) sont, quant à elles, des créations de William Lévesque, qui signe également l’ingénierie de son et les arrangements du EP. Ce nouveau projet, confectionné à quatre mains, marque un nouveau chapitre de création collaborative pour le futur de Valence.
Pour entendre le EP, cliquez ici.
