La maison de disque LABE acquiert le Club Soda

Après 40 ans d’existence et plus de 4 millions de spectateurs
Club Soda
Crédit photo : Club Soda

C’est ce que vient d’annoncer par voie de communiqué l’équipe de Louis-Armand Bombardier, LABE détenant déjà Horizon Musiques, Le Ministère, le studio d’enregistrement B-12, le lieu de tournage et de création Boîte culturelle, l’organisme REDA ainsi que le festival Santa Teresa. La salle mythique de la métropole depuis 1982 conservera la même vocation, soit la présentation de spectacles d’artistes locaux et internationaux, en plus de devenir un lieu de tournages télévisuels et d’accueillir diverses conférences.

Offrir un environnement créatif horizontal

Depuis les 20 dernières années, ces acquisitions sont effectuées avec l’objectif d’offrir aux artistes différentes options afin qu’ils créent dans les meilleures conditions possibles. Ainsi, l’entreprise s’attarde à développer un environnement créatif dit « horizontal » couvrant tous les aspects de la création de contenus. Ces nouveaux ajouts permettent à LABE d’offrir aux artistes un partenariat contractuel ou des services à 360 degrés : du studio jusqu’à la scène.

Du côté des cofondateurs et anciens propriétaires du Club Soda, Michel Sabourin et Rubin Fogel, on mentionne que « c’est avec un pincement au cœur et non sans tristesse que nous avons décidé de nous départir, après un mariage qui aura duré près de quarante années, d’un lieu iconique, devenu une véritable institution montréalaise ». Notons qu’en quatre décennies, le Club Soda c’est 10 000 représentations et quelques 4 millions de spectateurs. 

Conserver sa mission, en eaux troubles

Le communiqué dévoilé aujourd’hui souligne également l’importance pour les anciens copropriétaires de voir le Club Soda poursuivre sa mission et ce qui en a fait sa réputation. Alors que le Cabaret La Tulipe se retrouve devant les tribunaux et que sa survie est menacée, comme celles de nombreuses salles privées, maintenir en vie cette mythique salle montréalaise sera le défi des repreneurs. Cela dit, à voir les succès que multiplient les acquisitions de LABE et les récents ajouts artistiques de leur écurie comptant déjà Pierre-Hervé Goulet, Jorane, Bonanza et Salebarbes, pour ne nommer que ceux-là, gageons que le succès sera à nouveau au rendez-vous.

Crédit photo – Le Club Soda

La maison de disque LABE acquiert le Club Soda

C’est ce que vient d’annoncer par voie de communiqué l’équipe de Louis-Armand Bombardier, LABE détenant déjà Horizon Musiques, Le Ministère, le studio d’enregistrement B-12, le lieu de tournage et de création Boîte culturelle, l’organisme REDA ainsi que le festival Santa Teresa. La salle mythique de la métropole depuis 1982 conservera la même vocation, soit la présentation de spectacles d’artistes locaux et internationaux, en plus de devenir un lieu de tournages télévisuels et d’accueillir diverses conférences.

Offrir un environnement créatif horizontal

Depuis les 20 dernières années, ces acquisitions sont effectuées avec l’objectif d’offrir aux artistes différentes options afin qu’ils créent dans les meilleures conditions possibles. Ainsi, l’entreprise s’attarde à développer un environnement créatif dit « horizontal » couvrant tous les aspects de la création de contenus. Ces nouveaux ajouts permettent à LABE d’offrir aux artistes un partenariat contractuel ou des services à 360 degrés : du studio jusqu’à la scène.

Du côté des cofondateurs et anciens propriétaires du Club Soda, Michel Sabourin et Rubin Fogel, on mentionne que « c’est avec un pincement au cœur et non sans tristesse que nous avons décidé de nous départir, après un mariage qui aura duré près de quarante années, d’un lieu iconique, devenu une véritable institution montréalaise ». Notons qu’en quatre décennies, le Club Soda c’est 10 000 représentations et quelques 4 millions de spectateurs. 

Conserver sa mission, en eaux troubles

Le communiqué dévoilé aujourd’hui souligne également l’importance pour les anciens copropriétaires de voir le Club Soda poursuivre sa mission et ce qui en a fait sa réputation. Alors que le Cabaret La Tulipe se retrouve devant les tribunaux et que sa survie est menacée, comme celles de nombreuses salles privées, maintenir en vie cette mythique salle montréalaise sera le défi des repreneurs. Cela dit, à voir les succès que multiplient les acquisitions de LABE et les récents ajouts artistiques de leur écurie comptant déjà Pierre-Hervé Goulet, Jorane, Bonanza et Salebarbes, pour ne nommer que ceux-là, gageons que le succès sera à nouveau au rendez-vous.

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