L’artiste montréalais Fly Jordy travaille depuis des mois sur de nouvelles chansons et son nouvel extrait, Can’t Be Real, fait déjà belle figure sur les plateformes d’écoute. Avec son acolyte de la première heure, le réalisateur Wes Castle, l’auteur-compositeur de 25 ans nous invite dans un univers où se mélangent le rap, la pop et le hip-hop et où l’attention portée à la production visuelle est un point d’honneur.
Celui qui s’est produit en première partie de Fouki, Loud et de Yes Mccann et que l’on a pu aperçevoir au Festival Santa Teresa l’été dernier nous revient avec Paris Green, un EP concept de 6 chansons qui sera lancé le 3 juin prochain, à Montréal.
Le nouvel extrait Can’t Be Real est une façon bien personnelle pour l’artiste de chanter l’espoir malgré des tensions humaines difficiles. « Une relation toxique ne laisse personne indifférent, mais j’avais envie d’écrire sur ce qui nous empêche -malgré tout- de s’en détacher. Cette chanson, c’est le mélange des regrets, de l’amertume et de l’amour qui nous habite toujours », raconte-t-il. À travers cette chanson, l’auteur-compositeur avance qu’un retour en arrière est parfois aride à surmonter… mais nécessaire.
La chanson phare de cet EP dépasse maintenant les 10 000 écoutes, seulement quelques jours après sa sortie. On prédit déjà un avenir radieux pour ce jeune artiste qui n’a pas fini d’étonner par la qualité de ses textes, l’attention qu’il porte au « branding » de chaque sortie musicale et par sa capacité à s’entourer d’une équipe qui le porte visiblement dans la bonne direction.